Lisbonne concentre sur un territoire limité plusieurs volets touristiques ; sauf pour la montagne et la neige, peu représentative au Portugal, dans l’aire métropolitaine sont présents patrimoine, culture, plages, spectacles, congrès et presque toutes les genres d’activité touristique dans plusieurs formats d’organisation et de segment économique ; c’est une situation semblable a celle de Barcelone.
Lisbonne est aussi la troisième aire métropolitaine en population de la péninsule Ibérique, après Madrid et Barcelone, et compte ave l’un des centres anciens le plus monumentaux et intéressants de toute l’Europe.
La condition d’ancienne capitale d’un empire mondial, liquidé par la révolution des œillets en 1975, et les traces de cette ancienne splendeur dans un cadre qui malheureusement est parfois soumis a une décadence qui va au delà de la poésie, marque la ville. Les vieux trams ont survécu parce que la ville a manqué certains courants modernisateurs produits dans d’autres zones d’Europe, mais ils sont maintenant un atout touristique et de mobilité durable. La persistance des pavages traditionnels sur les trottoirs est en partie le résultat d’une structure des couts du BTP qui n’existe plus dans d’autres zones. D’un autre coté, la silhouette du pont 25 d’avril depuis la Praça do Comercio configure un paysage métropolitain d’intérêt.
Le Plano Estratégico do Turismo de Lisboa 2007-2010 développe les propositions de la stratégie nationale, et tente d’accroitre la valeur de par la modernité, l’authenticité et l’experience. Trois micro-centralités touristiques sont proposées autour des rives du Tage : Belem , le centre ancien et le Parque das Naçoes (expo 1998)