Élisabeth Essaïan a soutenu en 2006 sa thèse de doctorat en Architecture a l’Université de Paris 8, une réflexion sur le Plan de Moscou de 1935. La référence de ce lien est celle d’un numéro spécial des Annales de la Recherche Urbaine de 2012.
Le plan se développe, d’après les conditions du système politique de l’époque, en se passant des affections de la propriété privé du sol ou des bâtiments. Le binôme ilot- artère principal devient l’élément opérationnel du plan. Le plan prévoit une grande expansion de la ville, avec une croissance de la taille moyenne des ilots des 3 hectares de la ville historique a quelques 10 ou 15. C’est une expérience avec des super-ilots liées aux transports en commun, semblable de ce point de vue a d’autres expériences européennes de l’époque.
La thèse comprend aussi une vision du complexe monde politique de l’époque, avec les purges et les persécutions, auxquelles le monde des architectes de Moscou n’a pas échappé.