Les articles récents, une vision de ce qui peut être acheté avec une quantité donnée d’argent dans des villes différentes en Europe, autant que possible avec un plan d’un logement a ce prix, montre à quel point la valeur de l’argent es relative. Si l’on applique la même méthodologie aux 48 capitales de province espagnoles sur le continent et les Baléares, et en utilisant des données d’idealista.com, on peut apprécier que le contexte de crise, qui certainement touche tout le pays, n’a pas le même impact par prix partout.
Certes dans toutes les capitales provinciales le prix par m2 est descendu, mais ce n’est pas la même chose Barcelone (-7%) ou Madrid (-10%) que Guadalajara (-27,4%) ou Tarragona (-22,2%). Malgré ces corrections, les hiérarchies de prix restent en termes relatifs ; San Sébastian reste la capitale la plus chère (haut revenu personnel, peu d’espace, ville attractive), tandis que des zones avec un moindre revenu ou une activité inferieure ont normalement des prix inférieurs.
D’après les données pour janvier 2014 d’idealista.com, a Madrid et Barcelone 200.000 € permettent d’acheter a peine 60 m2, tandis qu’a Lleida il est possible d’arriver presque a 200 m2, et a Caceres on atteint presque 160. Il faut quand même rappeler que le revenu per capita de Madrid est presque le double de celui de Cáceres.
Un autre facteur a ne pas oublier : ce sont des prix moyens pour le territoire de chaque municipalité, qui lissent des variations par zone. Et il faut aussi rappeler que le prix dépend aussi bien de l’offre que de la demande, comme le montre bien le phénomène des bulles immobilières.