Certes, MacMahon l’a dit en découvrant la crue de la Garonne en 1875 a Toulouse (ou une crue de la Loire, ou, va savoir avec tout ce qui court par Internet…). Mais la phrase est aussi valable quand on voit la place que prend l’eau dans l’agglomération lyonnaise. La ville centrale est une longue et étroite presqu’ile entre deux fleuves…
A (quelques…) exception près, le même contexte de Pittsburgh : collines, fleuves et gens. Il est intéressant de comparer une ville américaine qui ne peut être une grille (pentes trop raides) à une européenne.