Voila un bâtiment, que le Corbusier voulait faire un prototype d’une vie moderne, et qui a fait couler des fleuves d’encre. 337 logements construits entre 1945 et 1957 comme une barre sur pilotis a Marseille. C’est l’un des ancêtres aussi bien de quartiers entiers de logements sociaux condamnés a l’ostracisme (et parfois dynamités), mais aussi d’exclusifs ensembles d’appartements haut de gamme.
Je ne dirais que peut-être le problème principale de son universalisation se pose quand les espaces de circulation (les rue intérieures) deviennent des espaces de séjour (chômage, marginalité, ou simple désespoir et angoisse) l’architecture ne peut grande chose. Mais j’ai pourtant entendu que, par contre, des modèles similaires dans des pays comme le Brésil ont eu un certain succès face a l’insécurité dans les rues par la concentration des services a des emplacements différents du bâtiment quand il est utilisé par des populations a haut revenu. En ce sens, c’est un antécédent des gated communities américaines (communautés fermées et privatisées)