
Deux euro-acres: sur l’image superieure, les places de Platerías (A) et la Quintana (B) a Saint- Jacques de Compostelle en Espagne, et sur l’image inferieure, la Nouvelle Gallerie Nationale de Berlin, a coté de l’eglise de Saint Mathieu et de la Postdamer Strasse.
Une acre peut etre une suface ouverté ou fermée, ou quelque chose entre les deux. Les places autour du flanc oriental de la Cathedrale de Saint Jacques de Compostelle sont le resultat d’une serie de circunstances: un relief naturel complexe, la preexistence d’un cimetiere, des monasteres… Ce qui mene a un ensemble d’espaces entourées par des institutions fortes, qui ont gagné en pouvoir au fil du temps avec des architectures parfois baroques, parfois austeres, avec des nouvelles propositions a l’interieur comme le bon projet de BMJ pour la Casa da Conga.
A Berlin, de l’autre coté, la surface combinée des deux places espagnoles est couverte par une grande dalle, portée par huit colonnes en acier (le bâtiment a un espace inferieur plus grand, mais peu visible de l’exterieur, la presence du batiment etat l’etage superieur). Le batiment, projet du grand maitre Mies Van der Rohe, est un espace defini par la dalle elle-même, et aussi par un pan de verre en retrait. Il n’y a pas d’obstacles pour la vision de l’exterieur, et, par exemple, l’eglise de Saint Mathieu, la Philamonie ou la Sony Plaza. Quand j’ai visité la Galerie en 2011 il n’y avait qu’une grande installation cylindrique au centre. Le batiment est elegant en proportions, mais tellement manquant d’ornement que toute marque de rouille ou souvenir de la complexité de la realité est simplement trop visible. On peut oposer a ça les places de Saint Jacques, dont le granit a soufert le passage du temps. Comme au cas des grand bateaux transportant des plateformes petrolieres, c’est une affaire de jeu ave les espaces et de relations d’echelle, avec des resultats differents en chaque situation.